Belle petite démonstration de la part de la police anglaise. Elle concerne les données privées de simples personnes comme vous et moi qui utilisons les différents services disponibles sur le web pour nos loisirs, nos échanges, nos réseaux….
Ces gens «ont aimé» une page Facebook en échange d’un café gratuit. Que s’est-il passé ensuite? Tout plein d’informations sur eux sont remonté à la surface. Oh non il ne s’agit pas de piratage…